Mise en ligne le 20 mai 2022

« (Les élèves) voient où je suis. Ils vont me voir parfois même plusieurs fois par jour ! Ça créé du lien, c’est très touchant ! »

Kelig, en parlant des élèves d’école qui le suivent



Kelig part faire un tour d’Europe à vélo, en partant de sa terre natale, en Bretagne. France, Suisse, Italie, Roumanie, Norvège, Belgique… sont quelques points de passage pendant son périple.  

Après nous avoir accompagné 4 mois pendant notre période de test du K-IP en octobre 2021 (avec lequel il avait déjà fait Gironde-Bretagne sur son vélo), il poursuit l’aventure encore plus loin avec notre produit.   

Rencontre avec notre K-IP Ambassadeur de la première heure !  


Au 20 mai, et avec 15 jours de route à son compteur, Kelig avait déjà visité plusieurs villes en France, Suisse et Italie.



Qui est Kelig ?

Un homme curieux, optimiste et sociable. Fou du vélo, il décide de profiter de son déménagement de la Gironde vers de nouveaux horizons pour faire un « petit tour à vélo ».  

« On a rarement 4 mois de libres où l’on peut voyager, faire une pause professionnelle et découvrir de beaux paysages. Le vélo est un moyen comme un autre, mais qui permet de faire de belles rencontres. Quand on arrive dans un village sur une selle de vélo, les gens viennent vers toi, curieux et avec l’envie d’échanger. On ne peut pas dire la même chose d’un voyage en voiture. J’aurai pu le faire en voiture, mais l’essence est tellement chère maintenant !», dit-il en rigolant.  
L’équipe API-K admire son humilité avec ses 7 à 10h de vélo par jour pendant ses premières étapes françaises.  

Après une belle étape de 240km et 3000 mètres de dénivelé positif entre Nadaillat (63) et Ambérieux (69), il nous a rendu visite dans nos bureaux au Bourget-du-Lac (73), pour nous rencontrer « en vrai », échanger sur son voyage et son utilisation du K-IP.  

“Transcontinental J13, Lac de Côme🇮🇹 – Prato allo Stelvio 🇮🇹/ 🇩🇪 “

Le voyage de Kelig en trois chiffres :  

8 kg de vélo à vide, un Gravel pimpé par ses soins pour voyager confortablement. 

12 kg de valises, de quoi être autonome pendant son voyage, lessive incluse. 

20 classes d’école le suivent pendant son périple, grâce à l’interface K-IP.


Sa passion du vélo le lance sur les cols, les vallées, les villes et les zones reculées pendant 3 mois et demi, pour un retour au bercail en Bretagne en août environ. Environ ? Oui, car notre cycliste pense faire au « feeling », nous dit-il : il ne s’agit pas d’aller d’un point A à un point B. Il fera ses étapes comme il le sent : en fonction de la météo, des aventures, des rencontres, de son état physique et mental. Nous ne doutons pas qu’il saura écouter son corps pour se rythmer puisque notre aventurier est kiné et ostéopathe de métier


En compagnie de son K-IP !    

Roulant la journée et se reposant le soir, il profite du calme et la fraîcheur de fin de journée pour poser son bivouac, visiter la boulangerie du coin, chercher du ravitaillement et donner des nouvelles. Sa famille et amis suivent son aventure via les réseaux sociaux traditionnels mais aussi de façon plus innovante et précise via keligabicyclette.api-k.com, où on peut le suivre grâce au K-IP.  

Le K-IP et cette interface qu’API-K a mis à sa disposition lui permettent de partager son voyage avec un grand nombre de followers de façon ludique et simple. Seul sur sa selle, mais ensemble dans l’aventure, lui et sa famille sont tous rassurés par le K-IP, à travers toute l’Europe. Il suffira d’un appui de bouton pour appeler à l’aide, puisqu’il a choisi ses parents pour être notifiés en cas de problème. 

À la suite de son expérience avec la Diagonale des fous, où il avait levé des fonds pour Imagine for Margo (association pour la lutte du cancer chez les enfants), Kelig cherche un nouvel engagement pour sa traversée en Europe. Levée de fonds ou création d’association… Il opte finalement pour échanger avec des écoles où les enfants le voient évoluer au quotidien. Une opportunité d’échanger avec eux sur le voyage, l’aventure, la sécurité et les différentes façons de vivre sa passion. Éparpillés en Gironde, Bordeaux et Seine-Saint-Denis entre autres, ces jeunes élèves échangent avec notre ambassadeur par message et vidéo. « Avec leurs maîtresses et maîtres, ils se connectent sur l’interface K-IP avant de commencer les cours. Ils voient où je suis. Ils vont me voir parfois même plusieurs fois par jour ! Ça créé du lien, c’est très touchant !  C’est devenu une routine pour eux. » Avec une messagerie dédiée, les élèves lui posent des questions et échangent au fil des paysages et des cultures.  

 

Dans le sac à dos de Kelig, il y a… 

De quoi être autonome en bivouac : tente, matelas, duvet et au moins 24h de nourriture 

Un décapsuleur d’un bar à Bruxelles : une sorte de porte bonheur utile 

Le drapeau breton : Notre cycliste nous raconte qu’il se fait souvent klaxonner pour se faire saluer. Le drapeau Breton est international !  

Il nous raconte que ses diverses étapes en France ont été plutôt confortables, « profitant de certains points pour visiter des amis… et faire les lessives confortablement ». Les vraies challenges de bivouac et d’homme face à sa solitude commencent après Annecy, où les amis se sont de plus en plus rares.  
 
« Le retour sera marrant, après 3 mois à vivre avec ce qu’on porte sur son vélo ! ».  
 

Envie d’en savoir plus et de suivre son aventure ?

En live grâce au K-IP 🌍
keligabicyclette.api-k.com

En photo via son Instagram 📸
@keligabicyclette

En vidéo avec sa chaîne Youtube 📹
@keligabicyclette